À l’heure actuelle, L’agro-industrie règne en maître dans nos société. Ce modèle agricole vante l’utilisation d’intrants chimiques tels les engrais, pesticides, herbicides ou même les insecticides. Ces pratiques agricoles intensives ne sont pas si vieilles. Pourtant, elles montrent  déjà l’impact qu’elles ont sur les terres agricoles:

• Appauvrissement des sols en nutriments pour les plantes causant une diminution des récoltes, ainsi qu’une baisse de la qualité nutritive des produits cultivés.
• Destructions de la biodiversité au sein des sols, avec un impact sur l’ensemble de la chaîne alimentaire.
• Accumulation de produits polluants dans les sols, dont certains composants se retrouvent dans l’ensemble de la chaîne alimentaire.
• Problème d’infiltration de l’eau dans les sols , avec augmentation de l’érosion des sols ainsi que des risques d’inondations
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•  En réintroduisant des micro-organismes dans un environnement, vous augmentez le nombre d’individus présents à la base de la chaîne alimentaire. Ces microbes peuvent ensuite être mangés par d’autres micro-organismes tels que les lombrics, enchytreas ou acariens qui participent au bon fonctionnement du sol, tout en étant également des maillons de la chaîne alimentaire.
• Les EM sont reconnus pour prendre une partie de l’azote contenu dans l’air que nous respirons afin de le stocker dans le sol. Ce dernier peut ensuite être utilisé par les plantes afin de créer de nombreux éléments essentiels à leur croissance, tels que des acides aminés ( protéines). De plus, Ils permettent aussi de faciliter l’absorption d’autres substances tels que les minéraux . Les plantes mieux nourries fonctionnent donc mieux dans l’ensemble et produisent une alimentation de meilleur qualité que leurs semblables non traitées par des EM.
• Les micro-organismes efficaces suppriment la présence de certains organismes pathogènes. De plus, en décomposant efficacement certains composés présents dans le sol, ils rendent plus facile d’accès certains nutriments essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire des plantes. Ceci réduit le nombre de cas de maladie au sein des cultures.
• Grâce aux EMs, les déchets organiques sont plus décomposés plus rapidement et les composés obtenus en bout de courses sont plus facilement utilisables par la flore et faune. 
• Ils augmentent l’activitié des micro-organismes indigènes , déjà présent avant l’introduction d’EM. Ils ne viennent donc pas remplacer ceux qui étaient déjà présent. Au contraire, ils diversifient les interactions possibles et permettent donc de réinstaurer un équilibre entre micro-organismes.